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Category Archives: Non Classé

ATELIER DE FORMATION DES TECHNICIENS FORESTIERS DE L’ODEF EN COLLECTE ET TRAITEMENT DE DONNEES CARTOGRAPHIQUES PHASE II

Dans le cadre du renforcement des capacités des techniciens forestiers, la Direction Générale de l’ODEF a organisé du 22 au 26 mars 2021, un atelier de formation en collecte et traitement de données cartographiques à l’aide du GPS et du logiciel cartographique QGIS. La formation s’est déroulée à Kara avec appui financier de l’UE à travers le PALCC dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Mise en gestion durable des forêts ».

L’objectif de la formation est de permettre aux agents de terrain de mieux maitriser la superficie des plantations forestières et des forêts classées qu’ils ont en gestion afin de mieux alimenter la base de données cartographiques de l’ODEF.

Spécifiquement, il s’agit de:

  • Former les participants dans l’utilisation du GPS pour lever les coordonnées géographiques d’une parcelle ;
  • Calculer le périmètre, la superficie, et la distance d’un trajet ;
  • Geolocaliser une plantation forestière ;
  • Former les participants dans le transfert des données du GPS vers un ordinateur ;
  • Initier les participants en cartographie à l’aide du logiciel QGIS pour le traitement des données.

La formation est assurée par le Lt TOLEBA A. Komlan, Chef Division Cartographie et Télédétection à l’ODEF et le Cdt KOMBATE Arifou, Doctorant en SIG et Télédétection.

Ouvert par le Directeur Régional Central, à la place du Directeur Général de l’ODEF le Cdt Pyoabalo ALABA, cet atelier s’est déroulé en deux phases.

Une phase théorique en salle, où les participants ont suivi avec une attention particulière les différents modules du document de la formation notamment manipulation du GPS et prise en main du logiciel QGIS.

Les travaux pratiques sur la manipulation du GPS se sont déroulés dans la plantation de teck d’Abouda.

Les données collectées sur le terrain ont permis de faire les exercices pratiques dans la QGIS.

Les travaux se sont déroulés dans de bonne condition avec la satisfaction totale des participants.

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ATELIER DE FORMATION DES TECHNICIENS FORESTIERS DE L’ODEF EN COLLECTE ET TRAITEMENT DE DONNEES CARTOGRAPHIQUES PHASE II

Dans le cadre du renforcement des capacités des techniciens forestiers, la Direction Générale de l’ODEF a organisé du 22 au 26 mars 2021, un atelier de formation en collecte et traitement de données cartographiques à l’aide du GPS et du logiciel cartographique QGIS. La formation s’est déroulée à Kara avec appui financier de l’UE à travers le PALCC dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Mise en gestion durable des forêts ».

L’objectif de la formation est de permettre aux agents de terrain de mieux maitriser la superficie des plantations forestières et des forêts classées qu’ils ont en gestion afin de mieux alimenter la base de données cartographiques de l’ODEF.

Spécifiquement, il s’agit de:

  • Former les participants dans l’utilisation du GPS pour lever les coordonnées géographiques d’une parcelle ;
  • Calculer le périmètre, la superficie, et la distance d’un trajet ;
  • Geolocaliser une plantation forestière ;
  • Former les participants dans le transfert des données du GPS vers un ordinateur ;
  • Initier les participants en cartographie à l’aide du logiciel QGIS pour le traitement des données.

La formation est assurée par le Lt TOLEBA A. Komlan, Chef Division Cartographie et Télédétection à l’ODEF et le Cdt KOMBATE Arifou, Doctorant en SIG et Télédétection.

Ouvert par le Directeur Régional Central, à la place du Directeur Général de l’ODEF le Cdt Pyoabalo ALABA, cet atelier s’est déroulé en deux phases.

Une phase théorique en salle, où les participants ont suivi avec une attention particulière les différents modules du document de la formation notamment manipulation du GPS et prise en main du logiciel QGIS.

Les travaux pratiques sur la manipulation du GPS se sont déroulés dans la plantation de teck d’Abouda.

Les données collectées sur le terrain ont permis de faire les exercices pratiques dans la QGIS.

Les travaux se sont déroulés dans de bonne condition avec la satisfaction totale des participants.

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ATELIER DE FORMATION DES TECHNICIENS FORESTIERS DE L’ODEF EN COLLECTE ET TRAITEMENT DE DONNEES CARTOGRAPHIQUES

Dans le cadre du renforcement des capacités des techniciens forestiers, la Direction Générale de l’ODEF a organisé du 15 au 17 mars 2021, un atelier de formation en collecte et traitement de données cartographiques à l’aide du GPS et du logiciel cartographique QGIS. La formation s’est déroulée à Notsè avec appui financier de l’UE à travers le PALCC dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Mise en gestion durable des forêts ».
L’objectif de la formation est de permettre aux agents de terrain de mieux maitriser la superficie des plantations forestières et des forêts classées qu’ils ont en gestion afin de mieux alimenter la base de données cartographiques de l’ODEF.
Spécifiquement, il s’agit de:
 Former les participants dans l’utilisation du GPS pour lever les coordonnées géographiques d’une parcelle ;
 Calculer le périmètre, la superficie, et la distance d’un trajet ;
 Geolocaliser une plantation forestière ;
 Former les participants dans le transfert des données du GPS vers un ordinateur ;
 Initier les participants en cartographie à l’aide du logiciel QGIS pour le traitement des données.
La formation est assurée par le Lt TOLEBA A. Komlan, Chef Division Cartographie et Télédétection à l’ODEF et le Cdt KOMBATE Arifou, Doctorant en SIG et Télédétection.
Ouvert par le Directeur Régional des Plateaux, à la place du Directeur Général de l’ODEF le Cdt Pyoabalo ALABA, cet atelier s’est déroulé en deux phases.
Une phase théorique en salle, où les participants ont suivi avec une attention particulière les différents modules du document de la formation notamment manipulation du GPS et prise en main du logiciel QGIS.
Les travaux pratiques sur la manipulation du GPS se sont déroulés dans la forêt classée de
Notsé – sud plus précisément au niveau de la parcelle de Gmélina 2020.
Les données collectées sur le terrain ont permis de faire les exercices pratiques dans la QGIS.
Les travaux se sont déroulés dans de bonne condition avec la satisfaction totale des participants.

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Le plan d’aménagement respectivement de la forêt classée de Haho-Baloé et du complexe forestier Asrama-Tététou-Tohoun-Djémégni proposé et validé.

Désormais, certaines forêts classées du Togo, à l’instar de la forêt classée de Haho-Baloé et du complexe Asrama-Tététou- Tohoun- Djémégni ont eu leur plan d’aménagement validé le 17 et 18 novembre 2020 au cours de deux ateliers organisés par l’ODEF.

C’est dans le cadre de la mise en œuvre  du projet « Mise en gestion durable des forêts étatiques par l’ODEF » que ces deux ateliers de validation ont été financés par l’Union Européenne à travers le programme d’Appui à la lutte contre le changement climatique (PALCC) sur la ligne « élaboration du plan d’aménagement ».

Il est à noter  que ces deux ateliers ont été présidés personnellement par le Directeur Général de l’ODEF, le Cdt Pyabalo ALABA qui a présenté les différents objectifs de la rencontre résumés en ces points :

  • Partager avec les acteurs les principales conclusions des différentes études ;
  • Faire une analyse critique des résultats obtenus avec les parties prenantes ;
  • Analyser la pertinence des différentes propositions d’aménagement ;
  • Echanger et améliorer le contenu du plan d’aménagement ;
  • Obtenir un consensus sur les options d’aménagement ;
  • Faire une étude approfondie des blocs d’aménagement.

 Pour les deux ateliers, beaucoup d’échanges, de propositions  et questions de compréhension sur des sujets précis comme les retombées de ces plans d’aménagement sur le quotidien de la population, l’insuffisance des terres cultivables, la non implication des populations dans la gestion des forêts classées, le renforcement des capacités des jeunes des villages sur les activités à réaliser dans les forêts, la formation des pépiniéristes et l’utilisation de la  main d’œuvre locale dans la réalisation des activités de gestion de ces forêts précitées ont meublé les discussions.

Un exercice a permis à tous les participants repartis en  trois  groupes de travail de ressortir en quelques les préoccupations les plus pertinentes qui feront objet d’étude dans les prochains jours. Le Directeur Général a rassuré les différents acteurs sur les points débattus et promet une implication active de tous les acteurs, dans le cadre de la gestion participative de  ces forêts. Il a également exhorté tous les participants à la protection et à un travail collaboratif avec la Direction de l’ODEF pour la réussite de la mise en œuvre de ces plans d’aménagements. Et c’est sur une note de satisfaction que les différents acteurs et les responsables de l’ODEF ont validé tous ces deux plans.

 

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Atelier de validation des outils de gestion de l’ODEF tenu du 02 au 03 septembre 2020 à Lomé

  Dans le but d’améliorer son système de gestion interne pour mieux répondre aux exigences des partenaires techniques et financiers selon la modalité de délégation d’opération pour la mise en œuvre des projets avec ses partenaires, l’office de développement et d’exploitation des forêts (ODEF) a entrepris un processus d’élaboration d’un certain nombre d’outils y afférents. L’atelier organisé par l’ODEF du 02 au 03 Septembre 2020 à la salle de réunion dudit office a pour but d’analyser, discuter et de valider dans un cadre participatif dix projets d’outils de gestion élaborés par l’ODEF à savoir :
 Procédure de la politique anti-fraude
 Formulaire de déclaration d’absence de conflit d’intêret
 Politique de l’odef en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (lbc/ft)
 Cadre de partenariat opérationnel de l’odef dans la mise en œuvre de projets ou d’une partie de projet
tome 1 : identification du partenaire, démarche projet, contractualisation
 Cadre de partenariat opérationnel de l’odef dans la mise en œuvre de projets ou d’une partie de projet
tome 2 : procédure de dépenses, version simplifiée partenaire
 Politique du genre de l’office de développement et d’exploitation des forets (ODEF)
 Manuel du cycle de projet ODEF
 Procédure exceptionnelle pour la passation des marches dans les directions régionales de l’odef et au cours des missions
 Manuel de suivi – évaluation de projets.

Cet atelier a réuni les experts des différents départements notamment du Ministère de l’Environnement, du Développement Durable et de la Protection de la Nature (MEDDPN), l’Agence Nationale de la Gestion de l’Environnement (ANGE), Ministère de Planification du Développement et de la Coopération (MPDC), Ministère de l’Action Sociale et de la Promotion de la Femme et de l’Alphabétisation (MASPFA), le consortium femme du projet de Réduction des Emissions dues à la Déforestation et à la Dégradation forestière (REDD+), l’Autorité De Régulation Des Marchés Publics (ARMP) et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) y compris certains membres du Conseil d’Administration et le personnel de l’ODEF.

La cérémonie d’ouverture a été marquée par l’allocution du Directeur Général de l’ODEF qui, dans son discours, a rappelé la mission de l’ODEF, le contexte de l’élaboration des outils de gestion. Il a estimé que ces outils vont aider à l’amélioration de la gestion, gage d’une crédibilité de l’ODEF vis-à-vis de ses partenaires techniques et financiers. Il a ensuite exprimé sa gratitude aux participants pour leur volonté d’accompagner l’ODEF dans ce processus. Il a enfin souhaité un bon travail à tous en espérant qu’à l’issue de ces travaux des outils techniques seront améliorés pour une meilleure crédibilité de l’ODEF afin de répondre aux exigences des partenaires techniques et financiers.

A l’issu des travaux, le Directeur Général de l’ODEF qui a assisté à cet atelier jusqu’à  la fin a tenu à remercier tous les participants pour l’assiduité et l’abnégation dont a fait preuve tout un chacun, et a rassuré que toutes les observations faites seront prises en compte. Il a ensuite rappelé que les observations sur le manuel du cycle de projets sont attendues par courriel. Enfin, il a rassuré aux différents participants que l’ensemble des documents finaux leurs seront renvoyés.

La présidente de la séance, Dr ATUTONOU a ensuite procédé à la clôture de l’atelier en remerciant les participants pour leurs apports constructifs et félicité les équipes techniques qui ont élaboré ces documents pour le travail abattu. Elle a enfin rappelé que l’intégration des observations soit faite afin d’avoir des documents finaux.

                     
  Dr ATUTONOU Amah, Présidente du C.A de l’ODEF                         Cdt. ALABA Pyoabalo, DG de l’ODEF
                     
                Participants à l’atelier                                                                       Equipe de rapporteur

                                                                       Quelques images de l’atelier

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Note de service portant pratique de la << tolérance zéro >> à l’ODEF

La direction générale rappelle à l’attention de tout le personnel qu’aucun écart  de comportement ( détournement , fraude, altercation,outrage, alcoolisme,…..) ne sera toléré au sein  de l’office.

L’article 47 du statut particulier du personnel de l’ODEF qui prévoit des mesures et des sanctions disciplinaires sera strictement appliqué à toute  contravention et sans exception aucune.

Dans le soucis d’éviter des désagréments, la direction générale convoie dès à présent le personnel à la pratique  de l’éthique et à une conscience professionnelle irréprochable dans l’exercice  des tâches qui leur sont confiées.

Les Directeurs départementaux sont chargés de veiller à l’application strict  de la présente note de service.

                                                                                        

                                                                                                La copie de la note de service

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Des délégués du Conseil de l’OIBT visitent la forêt classée de Missahoé à kpalimé le samedi 7 décembre 2019

Les participants à la 55eme session du Conseil international des bois tropicaux ont visité la forêt classée de Missahoé à kpalimé, le dernier jour de la session. Cette forêt a été le site d’un avant-projet et d’un projet financé par l’OIBT il y a plus de dix ans pour encourager la réhabilitation et la gestion durable de la forêt et promouvoir la foresterie et l’agroforesterie dans la zone tampon de la forêt. La forêt a été classée comme «gérée durablement» dans le rapport 2011 de l’OIBT sur l’état de la gestion des forêts tropicales, qui notait cependant que «la communauté de cette région a besoin d’un soutien supplémentaire dans ses efforts pour maintenir l’intégrité de sa forêt».

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Points des cinq jours d’activités de la 55ème session de l’OIBT au Togo

 

Point de la 55ème session J1

La restauration massive de paysages forestiers dégradés en Afrique de l’Ouest, combinée à de fortes incitations à l’investissement du secteur privé, pourrait aider à diriger le développement économique tout en comblant un déficit d’approvisionnement en bois imminent, selon les intervenants d’un segment de haut niveau de l’inauguration du Conseil international des bois tropicaux Journée du commerce et des marchés.

S’exprimant pendant la session, le Directeur exécutif de l’OIBT, le Dr Gerhard Dieterle, a déclaré que la croissance démographique en Afrique, combinée à la dégradation continue des forêts, signifiait qu’il y avait un danger considérable d’une spirale descendante dans laquelle les gens exercent une pression croissante sur les forêts de plus en plus rares, conduisant à la dégradation continue des terres. et toute une série d’autres conséquences graves.

D’un autre côté, a déclaré le Dr Dieterle, « Si nous reconstruisions des forêts dégradées, cela aurait d’énormes avantages pour la sécurité du bois et l’emploi ».

L’optimisation des avantages économiques d’un important programme de restauration des paysages forestiers nécessite des chaînes d’approvisionnement durables et légales, a-t-il déclaré, mais leur développement était une entreprise majeure nécessitant le renforcement des capacités de nombreuses parties prenantes, en particulier les petits producteurs, le long des chaînes d’approvisionnement.

D’autres orateurs du segment de haut niveau, modéré par Sheam Satkuru, Directeur des opérations de l’OIBT, ont indiqué que les gouvernements avaient la ferme intention de développer des plantations forestières afin de poursuivre les objectifs de développement durable liés à une économie verte, au changement climatique  à la réduction de la pauvreté  et l’inversion de la dégradation des terres, entre autres.

David Wonou Oladokou, Ministre togolais de l’environnement, du développement durable et de la conservation de la nature, a déclaré que les petits exploitants de son pays s’intéressaient de plus en plus à la culture du bois dans les forêts plantées. Ces acteurs doivent s’organiser afin de mieux s’engager avec le gouvernement sur les questions de politique et de renforcer les capacités de gestion forestière et commerciale, a-t-il déclaré. Il est également important d’apporter une valeur ajoutée au bois récolté dans les plantations du pays, ce qui nécessite le soutien du gouvernement.

Le Dr Oladokou a déclaré que son gouvernement avait mis en place des politiques pour encourager la culture forestière, mais qu’il fallait plus.

« Nous sommes attachés au sort du secteur privé, nous devons le soutenir », a-t-il déclaré. «La foresterie nécessite des investissements à long terme.»

                                                   

Le ministre camerounais des Forêts et de la Faune, Jules Doret Ndongo, a déclaré que son gouvernement mettait en place un programme national de plantations forestières pour créer une nouvelle économie forestière basée sur le bois issu des plantations. Cela nécessiterait des investissements importants.

Dieudonné Sita, directeur des forêts au ministère de l’Économie forestière du Congo, a souligné qu’un problème majeur auquel est confronté tout investisseur potentiel dans les forêts, la transformation du bois et les chaînes d’approvisionnement légales, en particulier les petits exploitants, est le manque d’accès au financement.

«Au niveau de la sous-région et dans mon pays, il est peu probable que les banques financent des opérations pour augmenter la valeur des produits du bois», a-t-il déclaré. De nombreux acteurs nationaux connaissent de graves problèmes de trésorerie et se tournent vers le gouvernement pour obtenir de l’aide, a-t-il déclaré. Le problème est aigu. Selon une intervention de l’auditoire, «les industries forestières de nos pays sont à genoux. Aucune banque n’est disposée à soutenir la croissance de l’industrie du bois. »

Certains pays, tels que le Bénin et le Togo, ont mis en place des politiques gouvernementales pour encourager les investissements du secteur privé dans le reboisement, mais il faut manifestement beaucoup plus.

Il a été demandé aux gouvernements de créer d’importants programmes d’incitations, comme cela avait été fait dans d’autres régions, en particulier en Asie, pour stimuler l’industrie forestière. Les intervenants ont demandé à l’OIBT de continuer à soutenir les efforts visant à accroître les investissements dans le développement des plantations forestières, la création de valeur ajoutée et les chaînes d’approvisionnement légales et durables, en particulier grâce au renforcement des capacités.

Point de la 55ème session J2

Ce jour a été consacré :

-panel sur la chaîne d’approvisionnement durable et légale du bois, animé par les ministres des pays producteurs (Togo, Cameroun, Ghana Gabon et quelques personnes ressources) l’essentiel à retenir se sont les grands défis pour répondre à ce concept du bois

Entre autres

– aménagement durable des forêts

-développement des industries

-inadéquation entre  l’offre et la demande surtout qui s’accroît.

Pour relever ces défis il faut :

-mesures incitatives pour le secteur privé

-financements pour l’aménagement des forêts etc.

D’autres échanges ont porté sur

Accord ACP FLEGT et  le  partenariat OIBT -CITES

Ici les pays ayant bénéficiés des appuis de ces bailleurs ont intervenu pour parler des avancées enregistrées et l’impact sur le terrain dans leur pays.

* le Togo par la voie du DG de l ODEF, Cdt ALABA a présenté : foresterie et transformation du bois au Togo défis et opportunités

                                                             

Il a été suivi de M. GABA qui a présenté son établissement appelé Timber spécialisé dans la transformation du bois au Togo. Du côté Togo toujours Mme Ayélé assistante sur le projet REDD+ et rapporteur de l’atelier sur la restauration des paysages forestiers a présenté les conclusions et recommandations de cet atelier organiseront par l OIBT.

Les pays comme le Ghana, le Congo, Bénin   ont aussi présenté l’état dans leur pays.

Autre communication  c’est : les défis de l’industrialisation du bois présenté par une personne ressource.

                                                                 

 

Point de la 55ème session J3.

Cette journée a été marquée par :

– présentation des lignes directrices sur la restauration des paysages forestiers en milieu tropical. Ces lignes serviront à donner des orientations générales et opérationnelles pour restaurer les forêts de production et  de protection dégradées et de paysages anciennes boisées dans les biomes de forêts tropicales.

La recommandation phare de cette communication c’est de prendre en compte la gestion des incendies des forêts. Elle recevra l’avis des délégués de janvier à mars. Et sera adoptée en janvier 2021.

– lignes directrices de l OIBT relatives à l’évaluation environnementale et sociale des projets de catégories A, B, C. Ici tous projets de catégorie A seront soumis à une étude d’impact approfondie

– présentation sur la situation des projets et avant projets déjà achevés.

-le cadre programmatique de l OIBT en 4 axes consiste :

  • renforcer le rôle des forêts pour l’atteinte des ODD
  • améliorer la levée de fonds
  • imbriquer les intérêts, les politiques de financement à des priorités des donateurs et
  • tenir compte des besoins des membres.

Autre question débattue c’est le mandat du directeur exécutif, nous serons fixés

                                                       

Point de la 55ème session J4 

Yawa Edzodzinam Dogbe a déclaré qu’au Togo, les femmes avaient pris l’initiative d’intervenir dans la gestion durable des forêts à travers des actions qui réduisent la pression sur les forêts.

Mme Dogbe est membre du Réseau des femmes africaines pour la gestion communautaire des forêts (REFACOF), une organisation non gouvernementale (ONG) promouvant l’action collective des femmes africaines pour relever les défis sociaux, politiques, juridiques et économiques liés à la gestion des forêts en Afrique. REFACOF a des chapitres dans plusieurs pays sur le continent

                                                     

Point de la 55ème session J5

Le 5e jour également, le Conseil a adopté des directives sur la gestion environnementale et sociale dans le but de fournir un système convivial et réalisable pour intégrer les garanties et la gestion des risques dans le cycle de projet de l’OIBT.

Élaborées sur la base des principes mondiaux convenus par le Partenariat mondial pour la restauration des paysages forestiers, les nouvelles directives de l’OIBT sur la restauration des paysages forestiers fournissent une orientation aux niveaux politique et opérationnel pour la restauration des forêts dégradées et des paysages anciennement boisés dans les biomes des forêts tropicales. Le Secrétariat révisera le projet, en tenant compte des commentaires reçus des membres de l’OIBT, pour adoption formelle entre les sessions.

Le Conseil a décidé de piloter une nouvelle approche programmatique de ses travaux au cours de la période 2020-2022, avec quatre lignes de programme comme suit: Chaînes d’approvisionnement légales et durables; Conservation de la biodiversité et des services écosystémiques; Restauration des paysages forestiers et moyens de subsistance résilients; et questions émergentes et innovation. Pendant la phase pilote, le Conseil cherchera à développer davantage l’approche programmatique avec des objectifs clairs et un processus de cycle de projet rationalisé. Il a mis en place un comité consultatif pour recevoir des mises à jour sur la phase pilote et fournir des conseils au Directeur exécutif.

                                                                                CONCLUSIONS  DU 55eme SESSION

Le Conseil a pris cinq autres décisions concernant l’administration de l’Organisation.

Plusieurs donateurs ont promis de nouveaux fonds à la session: le Gouvernement japonais, le Gouvernement américain, le Gouvernement de la République de Corée et le Gouvernement chinois. Parmi les travaux financés avec cet argent figure un projet visant à améliorer la traçabilité de la chaîne de production forestière au Guatemala et un avant-projet visant à renforcer les capacités des parties prenantes dans le secteur forestier privé et communautaire au Togo. Un financement partiel a été fourni pour un projet visant à améliorer la gestion du paysage dans la réserve de biosphère Giam Siak Kecil-Bukit Batu dans la province de Riau, en Indonésie, et un projet visant à accroître la capacité des communautés locales et de l’administration forestière à mettre en œuvre un programme de foresterie communautaire à Kratie et Les provinces de Mondulkiri au Cambodge. Plusieurs programmes existants, tels que l’initiative des chaînes d’approvisionnement légales et durables des produits forestiers, la coopération entre l’OIBT et la CITES, et les ateliers de renforcement des capacités statistiques, ont reçu un financement supplémentaire et 14 candidats ont reçu des bourses OIBT. Globalement, environ 5,1 millions de dollars de contributions volontaires ont été annoncés pour les travaux de l’Organisation en 2019, y compris entre les sessions. Les autres donateurs comprennent l’Union européenne et le gouvernement de l’Allemagne.

                                                                       

S’exprimant à la clôture de la session, le professeur David Wonou Oladokoun, ministre togolais de l’environnement, du développement durable et de la protection de la nature, a rendu hommage aux efforts déployés et à l’énergie déployée pour garantir que la session soit inclusive et résiliente.

Le Président du Conseil de l’OIBT, John Leigh, a remercié le Premier ministre Klassou et, par son intermédiaire, le gouvernement du Togo, en particulier le Ministère de l’environnement, du développement durable et de la protection de la nature et l’Office de développement et d’exploitation des forêts, ainsi que le peuple togolais, pour les excellents arrangements pour la session et leur superbe hospitalité. M. Leigh a rappelé aux délégués la nécessité d’une OIBT forte, «car aucune autre organisation n’a la capacité à la fois d’élaborer des politiques universellement acceptées et d’aider les pays à les mettre en œuvre sur le terrain». Il a exhorté tous les délégués à faire de leur mieux pour «faire fonctionner l’Organisation comme nous le savons».

Dans son discours de clôture, le Directeur exécutif de l’OIBT, le Dr Gerhard Dieterle, a déclaré au Conseil que le Secrétariat investirait tous ses efforts pour apporter de nouvelles ressources financières supplémentaires à l’Organisation au profit des populations et des forêts dans les pays membres de l’OIBT.

«C’est notre priorité et notre engagement clés envers vous tous», a-t-il déclaré.

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La 55ème session du CIBT a été ouverte à Lomé ce 02 décembre 2019

 Les questions de gestion durable des forêts tropicales au cœur de la 55ème session du CIBT. Les travaux de la 55ème session du Conseil International des Bois Tropicaux (CIBT) ont été ouverts ce 2 décembre 2019 au centre international de Lomé par le premier ministre, Dr Komi Sélom Klassou. Durant une semaine,  les participants venus de tous les continents, vont mener des reflexions sur la gestion durable des écosystèmes forestiers et explorer toutes les pistes potentielles de financement des projets en lien avec la foresterie. Cette grande rencontre internationale est une initiative  de l’Organisation Internationale des Bois Tropicaux (OIBT) qui a porté son choix sur le Togo. Un pays qui jouit d’une stabilité politique et sécuritaire.  Fortement impliqué au sein de cette organisation, le Togo partage les mêmes objectifs que l’OIBT.
Ils sont 240 délégués  représentants 74 pays producteurs et consommateurs des bois tropicaux présents au Togo en session hors siège. les travaux de ces assises seront consacrés selon le ministre de l’environnement du développement durable et de la protection de la nature, le Prof. Dawid Wonou Oladokoun à l’examen de sujets pertinents tels que des questions de gestion durable des écosystèmes forestiers, de transformation structurelle des secteurs des forêts et des industries forestières durables en Afrique dans l’optique du développement des chaînes d’approvisionnement durables et légales.
Parlant des avantages des forêts le ministre togolais de l’environnement ajoute, « nous devons réfléchir sur les options qu’offrent la forêt afin de maintenir l’augmentation de la température de la planète terre en deça du seuil de 1,5°C . Pour y arriver, il faut freiner le déboisement et la dégradation des écosystèmes forestiers ». Pour terminer le Prof. Oladokoun a eu une pensée positive pour les pays producteurs africains qui ont besoin de renforcement des capacités pour pouvoir  réaliser la gestion durable des forêts et satisfaire aux exigences du marché.

Le Togo entend renforcer les conditions favorables à la protection et à la préservation des forêts et à la promotion de «  l’économie verte »  pour cela, le pays s’est déjà engagé depuis 1977 avec l’institutionnalisation de la journée de l’arbre qui cadre avec cet adage qui dit que « celui qui a planté un arbre avant de mourir n’a pas vécu inutilement », a souligné le Premier Ministre (PM). Au Togo la part du secteur forestier dans l’économie nationale est actuellement de l’ordre de 2,8% . Cette contribution a expliqué le PM non négligeable peut augmenter si l’axe 3 effet 12 du PND consacré à l’environnement est atteint. Le PM dit aussi compter sur ses partenaires, afin qu’une attention  soutenue soit accordée aux questions de certification  des forêts à la préservation de la biodiversité au respect du droit de commerce du bois au payement des services environnementaux et surtout à la foresterie communautaire.
« Le manque de certification de l’origine des bois et le non-respect de la l’égalité dans le commerce mondial du bois induisent un manque à gagner inacceptable pour nos économies nous devons agir et vite dans ce sens » a fait remarquer le PM.
Tout en reconnaissant l’OIBT comme une organisation forestière leader dans le monde, le PM a plaider pour que les projets et avant-projets en attente de financement puissent l’être. Ce qui contribuera a-t-il dit à l’atteinte de l’objectif du Plan National de Développement (PND) relatif à la préservation, la restauration et l’exploitation durable des écosystèmes.
Le directeur exécutif de l’OIBT, Gérhard Dieterlie et le président de l’OIBT, Leigh Vetter ont  exprimé leur reconnaissance aux autorités togolaises pour les facilités offertes pour l’organisation de cet évènement. Ils ont aussi relévé les efforts du Togo dans la reconstitution de son couvert végétal, qui méritent d’être soutenus.

                                                                                          Les images de la cérémonies d’ouverture

Le Premier Ministre, Chef du Gouvernement Dr Komi Selom Klassou a procédé ce lundi 02 décembre 2019, à l’ouverture des travaux de la 55ème session du Conseil International des Bois Tropicaux en présence de la Présidente de l’Assemblée Nationale Chantal Tsègan. Cette rencontre qui réunit plusieurs pays à travers le monde est organisée par l’Organisation Internationale des Bois Tropicaux.

Le Ministre de l’Environnement, du Développement Durable et de la Protection de la Nature, Prof David Oladokoun a salué le choix porté sur le Togo pour la tenue de cette grande rencontre sur l’environnement, ce qui confirme selon lui, le statut de centre d’affaires de premier ordre dans la sous-région en lien avec l’axe 2 du Plan national de développement (PND 2018-2022).

Pour le Directeur exécutif de l’OIBT Dr Gerahrd Dieterle, le Togo a consenti beaucoup d’efforts en matière de préservation de son couvert végétal. Le pays s’est engagé à restaurer 1.400 000 ha de paysages forestiers à l’horizon 2030.

 

 

 Autres images  de la cérémonie d’ouverture

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l’Atelier régional sur la promotion de la restauration des paysages forestiers par les petits exploitants en Afrique de l’Ouest, tenu à Lomé, au Togo, le 27 novembre 2019.

Si un petit exploitant dispose d’un capital lui permettant d’effectuer un modeste investissement et d’avoir recours à une assistance technique, les plantations arboricoles et les boisés peuvent devenir une «banque d’arbres» qui lui rapportera des intérêts garantis et lui servira de «fonds de pension».

Il s’agissait de l’un des thèmes qui est ressorti de l’Atelier régional sur la promotion de la restauration des paysages forestiers par les petits exploitants en Afrique de l’Ouest, qui s’est ouvert le 27  novembre dernier à l’Hôtel École le Bénin à Lomé, au Togo. L’Atelier était organisé par l’OIBT en coopération avec l’Office de développement et d’exploitation des forêts (ODEF) et le Ministère de l’environnement, du développement durable et de la protection de la nature. Il a pris place au titre du Programme de l’OIBT relatif aux chaînes d’approvisionnement légales et durables (LSSC), qui est financé par le Ministère fédéral allemand de l’alimentation et de l’agriculture (BMEL).

Y ont assisté une cinquante de représentants des pouvoirs publics, du secteur privé et de la société civile issus des États africains membres de l’OIBT suivants: Bénin, Cameroun, République centrafricaine, Côte d’Ivoire, République démocratique du Congo, République du Congo, Gabon, Ghana, Libéria, Mali, Madagascar, Mozambique et Togo. Des représentants de partenaires bilatéraux et multilatéraux se sont également joints à l’Atelier.

S’exprimant lors de l’ouverture de l’Atelier, le Directeur général de l’ODEF, M. Pyoabalo Alaba, a indiqué que la restauration des paysages forestiers (RPF) était essentielle pour lutter contre le changement climatique, conserver la biodiversité et assurer la pérennité de la vie sur Terre. Il a ajouté que son Gouvernement avait pris un engagement à l’égard de la RPF dans le cadre de l’initiative du Défi de Bonn et a fait part de son appréciation pour l’appui de l’OIBT à cet Atelier.

M. John Leigh, le président du Conseil international des bois tropicaux, qui va se réunir à Lomé cette semaine à l’occasion de sa 55e session, a observé que la communauté internationale avait fixé d’ambitieux objectifs en matière de RPF, dont celui de restaurer 150 millions d’hectares d’ici à 2020 dans le cadre du Défi de Bonn et 350 millions d’hectares d’ici à 2030 dans le cadre de la Déclaration de New York sur les forêts. En outre l’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré que la période 2021-2030 serait la Décennie ONU de la restauration des écosystèmes.

M. Leigh s’est félicité que, sur la base des enseignement tirés de la mise en œuvre des lignes directrices sur la restauration des forêts publiés en 2002, le nouveau projet de lignes directrices sur la RPF préparé par M. Jürgen Blaser et M. Cesar Sabogal serait présenté la semaine prochaine, pendant la session du Conseil.

Réparer nos paysages endommagés à grande échelle va demander un immense effort, a observé M. Leigh.

«Il faut davantage reconnaître les multiples valeurs de la RPF, il faut créer et gérer des plantations de qualité et il faut mettre en place des chaînes de valeur durables de même qu’il faut habiliter les communautés locales et les entrepreneurs locaux, élargir les opportunités de marché et accroître les investissements», a-t-il remarqué.

M. Blaser, de l’Université des sciences appliquées de Berne, en Suisse, a indiqué que l’usage des terres était très dynamique en Afrique de l’Ouest, sachant que plus de 90 pour cent de la superficie foncière avaient fait l’objet d’une modification de leurs affectations ou de leur utilisation ces dernières années.

«Les petits exploitants peuvent jouer un important rôle moteur dans le développement de la RFP à caractère durable en Afrique de l’Ouest», a-t-il déclaré.
Dans son allocution d’ouverture, qu’il a prononcée au nom du Ministre de l’environnement, du développement durable et de la protection de la nature, le Secrétaire général, M. Koffi Aoufo Dimizou, a dit que les stratégies du Togo en matière de RPF avaient encouragé des régimes collaboratifs entre les petits producteurs sur la base d’initiatives privées et communautaires, pour couvrir l’intégralité des chaînes d’approvisionnement et de valeur, depuis la forêt jusqu’au marché. Il a souligné le fait que, en sus de leurs propres menés à l’échelon national, les pays d’Afrique de l’Ouest avaient besoin d’un appui de la coopération bilatérale et multilatérale. Il s’est félicité de l’Atelier organisé à l’instigation de l’OIBT comme moyen d’échanger sur les meilleures pratiques entre les parties prenantes en vue de revitaliser les paysages forestiers dans la région et de veiller à leur santé.

               

Quelques photos  de l’atelier

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